W.A. MOZART:" Ein musikalischer spass "KV 522

"EIN MUSIKALISCHER SPASS" KV 522 en FA Majeur pour 2 violons, alto, basse et 2 cors.

1-Allegro
2-Menuetto. Maestoso
3-Adagio cantabile
4- Presto

En son temps W.A. MOZART a été confronté à quelques Salieri , Clementi et autres compositeurs variés et avariés.
Sa réponse( il n'avait pas ce magnifique instrument qu'est l'ordinateur!), à ces comptabilisateurs, denonciateurs et jouisseurs d'accidents en tous genres, il a voulu musicale:

Il leur a offert ce KV 522, "Une plaisanterie musicale".

Pour tracer ses idées musicales, il lui suffit de quatre mouvements, dont les originalités se succèdent sans interruption.
La partition grouille d'impossibilités harmoniques, de dissonances, de répetitions absurdes et d'effets dynamiques parfaitement ineptes; sans parler de la célèbre cadence solo de la fin de l'adagio cantabile du troisème mouvement, où le violon cherche à se faire valoir.

Une plaisanterie musicale pleine d'esprit dans laquelle MOZART est d'un sérieux amer.



MAESTRO MOZART.

Bezout a écrit:

"EIN MUSIKALISCHER SPASS" KV 522 en FA Majeur pour 2 violons, alto, basse et 2 cors.

1-Allegro
2-Menuetto. Maestoso
3-Adagio cantabile
4- Presto

Sa réponse( il n'avait pas ce magnifique instrument qu'est l'ordinateur!), à ces comptabilisateurs, denonciateurs et jouisseurs d'accidents en tous genres, il a voulu musicale:

Il leur a offert ce KV 522, "Une plaisanterie musicale".

Pour tracer ses idées musicales, il lui suffit de quatre mouvements, dont les originalités se succèdent sans interruption.
La partition grouille d'impossibilités harmoniques, de dissonances, de répetitions absurdes et d'effets dynamiques parfaitement ineptes; sans parler de la célèbre cadence solo de la fin de l'adagio cantabile du troisème mouvement, où le violon cherche à se faire valoir.

Une plaisanterie musicale pleine d'esprit dans laquelle MOZART est d'un sérieux amer.



MAESTRO MOZART.

Je connais cette pièce.
Mais alors quand on rate les "pains" (qui sont écrits donc cette fois) ça s'appelle comment???

Xavier sur classik a écrit:

J'ai déboursé presque 200 euros pour cette Tétralogie, c'est pas pour entendre des pains là où il n'y en a pas.

C'est là que cette fameuse phrase prend tout son sens

BONNE QUESTION PROFESSEUR GAZOIL.

Dans ce cas bien précis, il n'est plus question de pains mais de
viennoiseries: qualité du compositeur oblige!

(difficile de resister à tous ces smiles si généreusement offerts par le Maître des lieux, alors je craque)